Nous voulons tous les deux rassembler et sommes très engagés dans un mouvement antilibéral unitaire.
Le 6 mai, nous devons voter Ségolène Royal; Sarko est un homme avide de pouvoir qui n’hésitera pas à nous trahir, à imposer ses idées ultra-libérales et dangereuses pour notre démocratie et notre avenir et c’est avec une grande inquiétude que je porte ces mots.
VOTONS SEGO POUR BATTRE SARKO
IL NE DOIT PAS ETRE NOTRE PRESIDENT
La France est un pays démocratique qui revendique les droits de l’homme, l’égalité et la fraternité, telle elle doit demeurer.
Or, Sarko est l’incarnation même de la menace du code du travail, de la protection sociale et du service public.
Par contre nous, nous défendons toutes ses conquêtes sociales, le partage des richesses et du pouvoir et ce sont ces valeurs que nous défendrons toujours, pour les législatives et au Palais Bourbon si vous nous faites confiance.
Christelle Fauvel
dimanche 29 avril 2007
samedi 14 avril 2007
CONFERENCE DE PRESSE DU 18 AVRIL 2007
1ère circonscription du Cantal
Tout d’abord,Mme et Mrs les journalistes, je tiens à vous remercier de m’accorder, ainsi qu’à ma suppléante, cette conférence de presse.
Avant de faire plus ample connaissance avec nous deux, je vous propose de brosser rapidement un tableau chronologique du déroulement des réunions du collectif local qui ont rassemblé des dizaines de femmes et d’hommes, tous concernés par l’identité d’une gauche populaire et antilibérale . En effet, si je suis aujourd’hui candidat, c’est suite à la décision de ce dernier de présenter comme titulaire un militant issu du PCF et de trouver une suppléante en provenance du collectif.
Aucune candidate n’ayant été proposée, j’ai tenu avant tout à mettre l’accent sur l’ouverture de mon parti en direction de force de gauche de rassemblement populaire et antilibéral, et c’est donc dans l’esprit d’une gauche combative que Mme Christelle Fauvel, 34 ans, mariée, mère de 2 enfants, adjoint administratif et militante syndicale, a accepté d’être ma suppléante pour les élections législatives de juin 2007. Quant à moi-même, j’ai 52 ans ( ce qui nous donne une moyenne d’âge de 43 ans). Je suis marié , 3 enfants, conseiller municipal à Arpajon/Cère et professeur. Est-il aussi besoin de vous rappeler que je fus à deux reprises candidat aux élections cantonales à Arpajon ?
Les présentations faites, je suppose que vous désirez surtout connaître les grandes lignes de mon programme politique pour la France et bien sûr le Cantal. A l’heure des annonces de licenciements massifs dans bon nombre d’entreprises et ceux déjà réalisés et de la multiplication des délocalisations, pour le seul profit des actionnaires, au détriment des salariés , on apprend que des PDG de groupes industriels, tel Forgeard (EADS Airbus) et Tchuruk (Alcatel) bénéficient des scandaleux « parachutes dorés »... Ils partent les poches pleines alors que les sociétés qu’ils ont gérées licencient et sont confrontées à de grandes difficultés.
Il faut de toute évidence une autre politique qui place l’individu au cœur de la société et non pas l’argent-roi qui destructure la solidarité entre les générations, les salariés, les privés d’emploi, les retraités, les handicapés, les immigrés, les sans-papiers et tous les exclus de la croissance. Chacun a le droit à la dignité humaine, cela commence par un travail correctement rémunéré, un logement, une véritable politique de la santé, un monde de paix dans une planète laissée intacte à nos enfants. Les services publics doivent être le fer de lance de l’économie par le biais du développement de l’éducation et de la recherche, des transports ferroviaires, l’arrêt des privatisations d’EDF-GDF, de France Telecom et de La Poste. Il faut aussi créer un grand pôle public de l’énergie et de l’eau qui aura pour objectif premier le développement durable et non les simples profits des boursicoteurs. Pour financer ces mesures il faut un courage politique qui s’attaque pleinement à la fiscalité en place, favorisant les plus riches et affaiblissant les plus démunis.
Tout naturellement, le Cantal subit de plein fouet la politique du gouvernement actuel. Les salaires moyens sont à peine à 1000 Euros et le droit des salariés est inexistant dans de nombreuses entreprises locales. Je propose donc de voter sans attendre pour un SMIC à 1500 Euros et d’offrir aux salariés un système de sécurité d’emploi et de formation qui permette de changer d’emploi en alternant vie professionnelle et périodes de formation avec maintien, tout au long de leur vie, de leur niveau de revenu et qui garantisse l’égalité entre les hommes et les femmes en ce qui concerne les rémunérations (20% en moins dans le privé) et les contrats de travail (30% précaires). L’emploi va mal. On nous annonce chaque mois une baisse du chômage, pour arriver le mois dernier à 8.4% de chômeurs. Ceci est le résultat de radiations contestables et massives. Et nous savons par ailleurs que 6 millions de citoyens vivent dans la pauvreté. Il faut donc une vrai politique de défense de l’emploi, qui stoppe les contrats précaires (toujours au seul bénéfice d’entreprises qui font de réels profits) pour de vrais contrats de travail afin que chacun puisse avoir de véritables projets : logement, loisirs et accès à la culture. De réels efforts doivent être faits dans le domaine de la santé, il faut une politique qui instaure de bonnes conditions de travail par des moyens humains et matériels nécessaires au bon fonctionnement. Pas de rabais sur la santé et l’éducation nationale où les économies sont inacceptables, nous devons défendre le droit à l’éducation et la santé pour tous.
Bien qu’il soit récurrent de parler de l’enclavement du Cantal, il reste à considérer que rien n’est figé. Il n’y a pas de fatalité dans la baisse démographique et le vieillissement de la population, ni dans le dumping social, ni dans les fermetures de classes dans nos campagnes, pas plus que dans la suppression du train de nuit Aurillac/Paris et des services publics de proximité. Le reclassement de la RN 122 n’aura du sens que si elle devient un axe structurant en complémentarité avec le fret sur rail. Ma volonté est de tout mettre en œuvre pour permettre une ouverture sur l’extérieur en favorisant par exemple la modernisation de l’axe Béziers / Paris via Neussargues à l’Est et la liaison Aurillac / Paris via Brive à l’Ouest. C’est à ce prix que l’on incitera des entreprises à venir s’installer dans notre département. C’est bel et bien d’un aménagement du territoire digne de ce nom dont il s’agit !
Je ne voudrais pas oublier les milliers d’agriculteurs qui peuplent cette circonscription. Ils sont une richesse pour l’entretien de l’espace rural et la sauvegarde de la beauté de nos paysages qui constituent un atout majeur dans le développement du tourisme vert. Mais, hélas, je constate que de plus en plus de petites exploitations familiales disparaissent, phagocitées par les grandes qui deviennent toujours plus grandes. Pour stopper cette logique libérale, il faut là aussi payer les produits de qualité à leur juste prix et non pas dépendre des aides de Bruxelles ou des tarifications décidées par l’OMC.
Comme vous l’avez entendu, il y a du grain à moudre dans cette circonscription. C’est donc, avec cette volonté de changer profondément les choses que je pense que des députés d’une gauche courageuse et volontaire ont toute leur place au Palais Bourbon, d’où ma candidature.
Bien évidemment, je n’ai pas tout développé dans cette présentation. J’attends donc vos questions.
Je vous remercie pour votre écoute.
Patrick Perrier : titulaire
Christelle Fauvel : suppléante
Tout d’abord,Mme et Mrs les journalistes, je tiens à vous remercier de m’accorder, ainsi qu’à ma suppléante, cette conférence de presse.
Avant de faire plus ample connaissance avec nous deux, je vous propose de brosser rapidement un tableau chronologique du déroulement des réunions du collectif local qui ont rassemblé des dizaines de femmes et d’hommes, tous concernés par l’identité d’une gauche populaire et antilibérale . En effet, si je suis aujourd’hui candidat, c’est suite à la décision de ce dernier de présenter comme titulaire un militant issu du PCF et de trouver une suppléante en provenance du collectif.
Aucune candidate n’ayant été proposée, j’ai tenu avant tout à mettre l’accent sur l’ouverture de mon parti en direction de force de gauche de rassemblement populaire et antilibéral, et c’est donc dans l’esprit d’une gauche combative que Mme Christelle Fauvel, 34 ans, mariée, mère de 2 enfants, adjoint administratif et militante syndicale, a accepté d’être ma suppléante pour les élections législatives de juin 2007. Quant à moi-même, j’ai 52 ans ( ce qui nous donne une moyenne d’âge de 43 ans). Je suis marié , 3 enfants, conseiller municipal à Arpajon/Cère et professeur. Est-il aussi besoin de vous rappeler que je fus à deux reprises candidat aux élections cantonales à Arpajon ?
Les présentations faites, je suppose que vous désirez surtout connaître les grandes lignes de mon programme politique pour la France et bien sûr le Cantal. A l’heure des annonces de licenciements massifs dans bon nombre d’entreprises et ceux déjà réalisés et de la multiplication des délocalisations, pour le seul profit des actionnaires, au détriment des salariés , on apprend que des PDG de groupes industriels, tel Forgeard (EADS Airbus) et Tchuruk (Alcatel) bénéficient des scandaleux « parachutes dorés »... Ils partent les poches pleines alors que les sociétés qu’ils ont gérées licencient et sont confrontées à de grandes difficultés.
Il faut de toute évidence une autre politique qui place l’individu au cœur de la société et non pas l’argent-roi qui destructure la solidarité entre les générations, les salariés, les privés d’emploi, les retraités, les handicapés, les immigrés, les sans-papiers et tous les exclus de la croissance. Chacun a le droit à la dignité humaine, cela commence par un travail correctement rémunéré, un logement, une véritable politique de la santé, un monde de paix dans une planète laissée intacte à nos enfants. Les services publics doivent être le fer de lance de l’économie par le biais du développement de l’éducation et de la recherche, des transports ferroviaires, l’arrêt des privatisations d’EDF-GDF, de France Telecom et de La Poste. Il faut aussi créer un grand pôle public de l’énergie et de l’eau qui aura pour objectif premier le développement durable et non les simples profits des boursicoteurs. Pour financer ces mesures il faut un courage politique qui s’attaque pleinement à la fiscalité en place, favorisant les plus riches et affaiblissant les plus démunis.
Tout naturellement, le Cantal subit de plein fouet la politique du gouvernement actuel. Les salaires moyens sont à peine à 1000 Euros et le droit des salariés est inexistant dans de nombreuses entreprises locales. Je propose donc de voter sans attendre pour un SMIC à 1500 Euros et d’offrir aux salariés un système de sécurité d’emploi et de formation qui permette de changer d’emploi en alternant vie professionnelle et périodes de formation avec maintien, tout au long de leur vie, de leur niveau de revenu et qui garantisse l’égalité entre les hommes et les femmes en ce qui concerne les rémunérations (20% en moins dans le privé) et les contrats de travail (30% précaires). L’emploi va mal. On nous annonce chaque mois une baisse du chômage, pour arriver le mois dernier à 8.4% de chômeurs. Ceci est le résultat de radiations contestables et massives. Et nous savons par ailleurs que 6 millions de citoyens vivent dans la pauvreté. Il faut donc une vrai politique de défense de l’emploi, qui stoppe les contrats précaires (toujours au seul bénéfice d’entreprises qui font de réels profits) pour de vrais contrats de travail afin que chacun puisse avoir de véritables projets : logement, loisirs et accès à la culture. De réels efforts doivent être faits dans le domaine de la santé, il faut une politique qui instaure de bonnes conditions de travail par des moyens humains et matériels nécessaires au bon fonctionnement. Pas de rabais sur la santé et l’éducation nationale où les économies sont inacceptables, nous devons défendre le droit à l’éducation et la santé pour tous.
Bien qu’il soit récurrent de parler de l’enclavement du Cantal, il reste à considérer que rien n’est figé. Il n’y a pas de fatalité dans la baisse démographique et le vieillissement de la population, ni dans le dumping social, ni dans les fermetures de classes dans nos campagnes, pas plus que dans la suppression du train de nuit Aurillac/Paris et des services publics de proximité. Le reclassement de la RN 122 n’aura du sens que si elle devient un axe structurant en complémentarité avec le fret sur rail. Ma volonté est de tout mettre en œuvre pour permettre une ouverture sur l’extérieur en favorisant par exemple la modernisation de l’axe Béziers / Paris via Neussargues à l’Est et la liaison Aurillac / Paris via Brive à l’Ouest. C’est à ce prix que l’on incitera des entreprises à venir s’installer dans notre département. C’est bel et bien d’un aménagement du territoire digne de ce nom dont il s’agit !
Je ne voudrais pas oublier les milliers d’agriculteurs qui peuplent cette circonscription. Ils sont une richesse pour l’entretien de l’espace rural et la sauvegarde de la beauté de nos paysages qui constituent un atout majeur dans le développement du tourisme vert. Mais, hélas, je constate que de plus en plus de petites exploitations familiales disparaissent, phagocitées par les grandes qui deviennent toujours plus grandes. Pour stopper cette logique libérale, il faut là aussi payer les produits de qualité à leur juste prix et non pas dépendre des aides de Bruxelles ou des tarifications décidées par l’OMC.
Comme vous l’avez entendu, il y a du grain à moudre dans cette circonscription. C’est donc, avec cette volonté de changer profondément les choses que je pense que des députés d’une gauche courageuse et volontaire ont toute leur place au Palais Bourbon, d’où ma candidature.
Bien évidemment, je n’ai pas tout développé dans cette présentation. J’attends donc vos questions.
Je vous remercie pour votre écoute.
Patrick Perrier : titulaire
Christelle Fauvel : suppléante
Halte à la vie chère !
Un relèvement massif du pouvoir d’achat populaire s’impose.Partout en France, on entend que le pouvoir d’achat diminue, et ceci depuis bon nombre d’années. En effet, force est de constater que les familles sont contraintes à l’endettement ou tout simplement privées de l’accès aux biens de consommation courante. Le pouvoir d'achat, c’est la capacité d'achat en termes de biens et services d'un revenu donné. Or, il faut déjà considérer que beaucoup de nos compatriotes sont les exclus de la croissance et se retrouvent, de ce fait, privés de revenus dignes de ce nom…Les rémunérations salariales, les indemnités de chômage, les allocations familiales, le RMI, etc… ne sont pas à la hauteur et jettent de ce fait des millions de gens dans le besoin, voire la misère. Il suffit de regarder autour de soi pour se rendre compte de la mal-vie dans les quartiers populaires, où les locataires sont parfois dans l’incapacité totale de payer leur facture EDF ou même leur loyer. La multiplication des temps partiels et des emplois précaires, sans oublier tous ceux qui sont à la recherche d’un emploi, les bas salaires, tout particulièrement à Aurillac, le manque de bourses pour les étudiants, ne font qu’aggraver de jour en jour le sort des classes populaires et moyennes, alors que parallèlement les riches deviennent de plus en plus riches et que les actionnaires empochent les dividendes des entreprises délocalisées.Le désengagement de l’Etat qui plafonne l’ISF grâce « au bouclier fiscal » et baisse du même coup la taxation sur les revenus les plus élevés, conduit inexorablement les collectivités locales à augmenter les impôts, sur le dos de tout le monde, cette fois.Depuis 2002, nous sommes passés à l’Euro, ce qui n’a pas arrangé les choses. Il suffit d’acheter son pain ou de faire le plein d’essence pour s’apercevoir que ce sont presque devenus des produits de luxe. Non, cela ne peut plus durer. Nous sommes en période électorale et les promesses de tous les candidats ne sauraient nous faire oublier qu’il faut une véritable volonté politique pour créer un vrai changement. C’est dans ces sens que je veux rompre avec le libéralisme, afin de garantir, à tous ceux qui souffrent des fins de mois difficiles, quand celles-ci d’ailleurs ne commencent pas le premier jour du mois, une vie meilleure, plus juste et solidaire.Dans son programme elle annonce, entre autres, qu’il faut : alléger les impôts sur les petits et moyens salaires et augmenter fortement ceux des plus riches ; baisser la TVA sur les produits de premières nécessités ; par l’extension des cotisations sociales aux produits financiers et leur modulation incitative à la création d’emplois qualifiés et bien rémunérés ; porter le SMIC à 1 500 euros bruts par mois pour 35 heures ; augmenter les fonctionnaires de 10 % ; faire un “Grenelle des salaires, des pensions et retraites, des qualifications et de l’emploi” ; relever tous les minima sociaux…HALTE A LA VIE CHERE ! Alors, au premier tour des élections législatives, votez Patrick PERRIER et Christelle FAUVEL !
Un emploi pour tous !
Le chômage et la précarité ravagent la vie de millions de personnes dans notre pays. Le mal-vivre s’installe de jour en jour dans les familles, les écoles, les quartiers,etc… parce que la perspective du lendemain n’existe pas. C’est intolérable ; il faut changer le cours des choses et refuser la fatalité.Par l’intermédiaire du CNE et du « contrat sénior » c’est la casse du Code du travail qui est programmée, avec, en plus la remise en cause des droits des salariés et des comités d’entreprise. Il faut absolument une autre politique de l’emploi, conciliant la sécurité de l’emploi et mobilité…Pour cela, je propose un système de sécurité d'emploi et de formation, qui aura pour finalité la sécurisation de l’emploi et de la formation tout au long de l’activité salariée de chaque individu. Des choix sociaux nouveaux s’imposent avec une approche du monde du travail différente. Il faut aussi l'égalité des salaires entre hommes et femmes, avec une augmentation significative et un SMIC à 1500 Euros. Ne laissons pas les groupes financiers et les actionnaires du CAC 40 décider à la place des travailleurs ! Il faut battre la droite et le MEDEF, et rassembler la gauche populaire antilbérale pour changer la vie.10 mesures immédiates sont nécessaires:Revalorisation des taux et de la durée d’indemnisations du chômage.Tout-e salarié-e licencié-e pourra bénéficier d’un « congé de reclassement » amélioré. Une modulation des cotisations chômage des employeurs pénalisera ceux qui précarisent.Mise en place d'un plan pluriannuel de résorption de l’emploi précaire sera dans le public comme dans le privé.Abrogation du CNE et du « contrat sénior » .Le recours à l’intérim sera strictement réduit et les rémunérations des stagiaires protégées.Les salariés et les comités d’entreprise pourront imposer des moratoires suspendant les décisions controversées pour faire des propositions alternatives.Le CDI sera la norme d’emploi pour tous et il sera progressivement sécurisé.Les lois Fillon seront abrogées et les lois Aubry réformées pour que les 35 heures, dans la perspective de l’abaissement ultérieur à 32 heures, soient un droit pour tous et créent des emplois.Intégration des primes et des indemnités de RTT dans les salaires.Refonte de l’ANPE avec son articulation à l’UNEDIC, à l’AFPA et à l’Education nationale pour un grand service public et social de l’emploi-formation.Le financement de telles mesures est possible en taxant , par exemple, les revenus financiers au même taux que les salaires, en supprimant le bouclier fiscal, en augmentant l’impôt sur la fortune, etc.. Alors, le 10 juin au premier tour des législatives, votez Patrick PERRIER et Christelle FAUVEL !
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